dimanche 30 juin 2013

Mangez-en, c'est bon pour vos dents

Manger du fromage, c’est bon contre les caries dentaires !


En plus du brossage des dents, les dentistes pourraient bien recommander aux enfants de manger un peu de fromage.
On connaît déjà l’intérêt de manger des produits laitiers pour préserver une bonne santé en général (maladies cardiovasculaires, santé osseuse ou encore diabète). Mais peu de travaux ont été faits pour étudier l’impact de leur consommation sur la santé bucco-dentaire.
Des chercheurs indiens viennent de démontrer que le fromage était meilleur que d’autres produits laitiers pour protéger nos dents des caries. Leurs résultats parus dans General Dentistry ont été obtenus sur un panel de 68 ados âgés de 12 à 15 ans. LeDr Ravishankar Telgi du Kothiwal Dental College and Research Center en Inde a demandé à un groupe de manger du fromage, un second groupe un yaourt sans sucre et un troisième groupe de boire un verre de lait. Chaque groupe a mangé son produit laitier pendant trois minutes avant de boire de l’eau. Le pH de la plaque dentaire (acidité de la bouche) a été mesuré dans la bouche de chacun des jeunes 10,20 et 30 minutes après la consommation. Un pH inférieur à 5,5 expose les dents à un risque d'érosion, qui abîme l'émail. "Plus le pH dépasse 5,5, plus le risque de développer des caries diminuent", complète le Dr Vipul Yadav, co-auteur de l'étude.
Le fromage, une alternative aux sucreries
Les consommateurs de fromage sont ceux dont le pH a beaucoup augmenté contrairement aux autres groupes qui n’ont pas connu de nette évolution de leur pH.
Cette élévation du pH s’expliquerait par la production de salive liée à la mastication. On sait déjà que la salive diminue l’acidité de la bouche après la consommation d’aliments sucrés, prévenant l’apparition de caries. Mais il semblerait aussi que certains composants du fromage comme la caséine s’ajoutent à l’effet de la salive, en adhérant à l’émail dentaire, ils protègeraient les dents des attaques acides. 

 

Dents grises et jaunes: les causes

      Les maladies buccales, le tabac, la mauvaises alimentation, autant de raisons qui peuvent causer la décoloration des dents. On peut ainsi se retrouver pour une de ces raisons ou une autre avec des dents jaunes qui sont le signe de l’usure de l’émail dentaire ou du vieillissement des dents, ou avec des dents grises qui survient entre autres après la prise des antibiotiques, ou à la suite d’un choc. Essayons d’en savoir plus sur ce dernier phénomène de dents qui deviennent grises.
      Une autre cause des dents grises est la prise de l’antibiotique tétracycline dans la période de la formation des dents. La prise de cet antibiotique par une mère enceinte pourrait par exemple avoir pour conséquence le virement au gris de la couleur des dents primaires de son bébé. Il y a en outre ce qu’on appelle les fluoroses dentaires, causes également de la formation de taches foncées sur les dents. Ces fluoroses dentaires sont provoquées par une ingestion excessive de fluor pendant la formation des dents. Enfin, un trauma à une dent à la suite d’un coup ou d’une chute peut très bien faire que celle-ci change de couleur pour virer au rose ou au gris. A part le changement de la couleur, il n’y a aucune autre conséquence néfaste pour la dent dans ce cas. La seule chose à faire c’est d’attendre par exemple que la dent en question tombe. Mais s’il s’avère qu’après un choc la dent devienne symptomatique ou s’infecte, il faut alors tout de suite penser à la traiter.





vendredi 28 juin 2013

Jeunesse illimitée : comment rester jeune ?

      Comment rester jeune pour le restant de votre vie? Jeunesse illimitée est le seul guide pratique sur les Nouvelles Technologies Anti-Âge. Restez jeune sans chimie et sans chirurgie ! A découvrir vite!


jeudi 27 juin 2013

Le biofeedback

      On pensait autrefois que l'homme ne pouvait exercer aucun contrôle conscient sur les fonctions complexes de son corps, telles que le rythme cardiaque, l'activité électrique du cerveau, la tension artérielle, etc. Aujourd'hui encore, si l'on demandait à l'homme de la rue d'élever sa tension artérielle ou de diminuer la température de ses mains, il est probable qu'il ne saurait pas comment s'y prendre.
Pourtant, lorsqu'un individu peut observer, sur un écran, les variations de sa tension artérielle telles qu'elles se produisent, et si on lui demande de l'augmenter ou de la faire diminuer, il est capable, au bout d'un certain temps, d'apprendre à le faire. Cette méthode est appelée " biofeedback ", ce qui signifie que les états des fonctions corporelles (bio) sont retransmises dans le corps (de feed, "nourrir", et back, "en retour"). Dans des conditions traumatisantes de stress (prolongé ou réduit), la régulation de certaines fonctions du corps ne se produit pas. Cela engendre une série de dysfonctionnements assez graves : tension artérielle élevée, migraine, maux de dents, asthme, ou même certains types de paralysie et de troubles cardiaque ou autre, pour lesquels aucune cause physique ne peut être décelée. Lorsque cela se produit, le médecin prescrit au patient des séances de biofeedback avec un psychologue.
 
 
      Grâce à un équipement spécial, le psychologue contrôle les fonctions du corps du patient. Celui-ci reçoit simultanément une information concernant ce qui se passe, en regardant, par exemple, un cadran sur lequel il peut voir une aiguille monter et descendre, ou en écoutant un signal électronique qui augmente ou diminue selon le sens des variations de son corps. Ce "feedback" a deux objectifs : le premier est d'informer le patient des changements qui surviennent dans son corps (dès leur apparition, et bien avant qu'il ne les ressente), le seconde objectif est d'apprendre au patient à quel moment utiliser des stratégies conscientes pour contrôler les fonctions de son corps. Peu à peu, le patient progresse et réussit à exercer ce contrôle sans faire appel à la machine : il a appris à détecter et modifier, si nécessaire, les moindres changements qui se manifestent dans son organisme.

 

mercredi 26 juin 2013

La malnutrition

      Un régime alimentaire dans lequel des éléments nutritifs indispensables (vitamines ou minéraux, par exemple) font cruellement défaut, pendant une longue période, se traduit par de graves troubles physiques. Les conséquence qui résultent d'une mauvaise nutrition, ou de l'incapacité du corps à digérer ou absorber certains aliments, sont appelées carences ou maladies par carence. Lorsqu'il y a véritable famine, un fléau qui continue à sévir dans de nombreuses parties du globe, l'organisme commence à utiliser son stock de graisses comme source d'énergie et de chaleur. Dans les cas graves, les muscles fondent et les côtes, tout comme le reste des os, finissent par apparaître sous la peau.
      Les graves maladies par carence et la famine sévissent encore dans les pays en voie de développement où le revenu par tête est très bas. L'économie nationale ne peut faire face à l'urgence d'une situation agricole (comme les longues périodes de sécheresse) qui affecte les besoins en matière d'alimentation de la population.

 
 
       L'organisme peut également souffrir de malnutrition même s'il reçoit suffisamment de calories pour rester en vie, car la qualité de l'alimentation détermine, autant que sa quantité, les carences nutritionnelles. Lorsque l'apport  d'éléments indispensable dans l'alimentation est inférieur à la normale, presque tous les organes et les tissus sont touchés : les os ne reçoivent plus assez de calcium pour pouvoir se réparer, l'individu souffre d'anémie par manque de fer, et les muscles ne sont plus à même de conserver leur tonicité, car les protéines ne suffisent pas à les entretenir. Chez les nourriss-
ons, les bébés et les enfants, la malnutrition se traduit généralement par des problèmes de croissance, un manque d'énergie et de réactions, et une sensibilité accrue aux infections.
      Dans les cas graves, la peau devient rugueuse et se frippe à la moindre friction, puis surviennent des anomalies dentaires, des saignements des gencives et, éventuellement, des irritations aux commissures des lèvres.
      Certaines maladies de carence sont dues à un apport insuffisant d'une seule vitamine. Un exemple typique est le scorbut qui est provoqué par une carence en vitamine C. Il se manifeste par une faiblesse de l'état général, des douleurs aux articulations, la perte des dents ou l'apparition de dents
  
 
anormales, des hématomes (bleus) et des saignements des gencives. Manger des fruits et des légumes frais,  excellente source de vitamine C, ou boire des jus de fruits ou de légumes constituent la meilleure préventions contre cette maladie.  
       Le béribéri est provoqué par une carence en vitamine B1. Cette maladie est caractérisée par une inflammation des nerfs, de l'anémie et un gonflement généralisé (œdème) dû à l'accumulation anormale des liquides dans les tissus. La maladie est devenue rare de nos jours, sauf dans les pays où les habitants consomment surtout du riz décortiqué.
      Le kwashiorkor est une grave maladie de carence due à l'absence de protéines dans le régime alimentaire. Elle affecte principalement les enfants âgés de moins de deux ans et les nourrissons sevrés qui reçoivent une nourriture de substitution pauvre en protéines (bouillies de céréales diluées, par exemple). L'enfant est inactif et sa croissance et son développement n'ont pas lieu normalement, c'est-à-dire que son poids et sa taille sont inférieurs à la normale pour son âge. Son abdomen se distend, son foie grossit et d'autre tissus enflent à la suite de l'accumulation de liquides. Quatre enfants sur dix, atteints de cette maladie, meurent. Les survivants sont victimes d'un retard mental irréversible. Dans les cas extrêmes, avant même de tenter de les nourrir en protéines, il faut réhydrater leur  corps en lui apportant les minéraux qu'il a perdus.
 

mercredi 5 juin 2013

Les infidélités féminines : Les 5 raisons qui poussent les femmes à tromper leur compagnon

Les infidélités féminines ont plus souvent de mal à être excusées que celles des hommes. Renee Lee, experte américaine en relations amoureuses et psychologue, a livré les 5 raisons les plus communes pour lesquelles les femmes trompent leur compagnon.

 
1.      La  période de transition
« En prenant de l’âge, en avançant dans la relation, ou  face aux évènements de la vie (la perte d’un parent par exemple) les femmes deviennent de plus en plus introspectives », explique Renee Lee.
Cela peut faire naître un désir plutôt positif, comme celui d’un engagement plus profond dans la relation, mais elles peuvent aussi se rendre compte qu’elles ne sont pas dans la bonne direction, ce qui peut engendrer un désir impulsif de trouver quelqu’un qui soit plus en adéquation avec leurs ambitions de vie. 
 
2.      Le manque de valorisation
« Que ce soit pour l’obtention d’une promotion au travail ou pour l’organisation d’un dîner de famille pour 20 personnes, les hommes ont du mal à complimenter les actions de leurs partenaires », affirme Renee Lee.  En général, les femmes  cherchent la  reconnaissance de leur partenaire, elles veulent qu’il soit fier d’elles, qu’il apprécie leurs efforts. Lorsqu’elles ne trouvent pas cette reconnaissance à la maison, cela crée de la frustration, de la dépression et du ressentiment.
Et lorsqu’elles trouvent ce qui leur manque à l’extérieur, elles ont l’impression de ressentir une connexion forte avec la personne qui reconnait enfin leurs qualités.

 
3.      La fin d’une relation
« Lorsqu’une femme sent que la relation qu’elle vit est en train de se finir, que ce soit son choix ou non, elle va souvent s’ouvrir à l’extérieur »,comment Renee Lee.
Lorsque c’est elle qui choisit de mettre fin à une relation, elle va souvent entrer dans le jeu de la séduction pour se rassurer et se prouver qu’elle peut passer à autre chose.
 
4.      Le manque de complicité
« Lorsqu’on ne rit pas, on n’aime pas. Le rire est l’un des éléments clés qui prouve qu’une relation marche bien. », explique Renee Lee, simplement.
Quand c’est le stress du quotidien qui devient le facteur dominant dans une relation, les femmes sont malheureuses… Et lorsque soudainement, elles passent un bon moment et rient avec un collègue ou un ami, cela éclaire leur journée et leur montre ce qui manque dans leur relation.
5.      L’ennui au lit
Il n’y a pas que les hommes qui cherchent à pimenter leur vie sexuelle. « Les femmes ont besoin de se sentir désirées ! »
Les femmes parlent de plus en plus ouvertement et librement de leur vie  sexuelle entre elles, ce qui leur permet de mesurer leur propre niveau de satisfaction.
« Bien qu’il soit difficile de voir les problèmes que les problèmes de notre vie sexuelle, c’est souvent difficile de mettre en place les corrections pour l’arranger. », affirme Renee Lee...


Maintenant, vous savez pourquoi les femmes peuvent tromper… Ce n'est pas très différent des raisons qui poussent les hommes à être infidèles, n’est-ce pas ?
 
" Renee Lee, experte américaine en relations amoureuses et psychologue, a livré les 5 raisons les plus communes pour lesquelles les femmes trompent leur compagnon ".
 

10 astuces pour brûler les graisses plus vite

Perdre du poids est un projet long et souvent fastidieux… Sans mettre sa santé en danger, il est possible de donner quelques coups de pouce à son organisme. On s’y met ?

Faites le plein de thé vert

Le thé vert peut aider à stimuler votre métabolisme. C’est sans doute grâce aux catéchines qu’il contient, et qui augmentent la sécrétion de noradrénaline, véritable booster du métabolisme. Grâce à cela, vous brûlez davantage de calories chaque jour !

Faites des pompes

Prendre du muscle est le meilleur moyen de brûler des calories rapidement, car le muscle brûle davantage de calories que les graisses. Le muscle augmente aussi les dépenses de votre métabolisme : même au repos, vous brûlez des calories !

Mangez du fer

Si vous manquez de fer, votre corps ne peut pas apporter suffisamment d’oxygène à vos cellules, ce qui ralentit votre métabolisme et vous fait consommer moins de calories. Pour avoir votre dose, consommez des aliments riches en fer comme la viande rouge maigre, le poulet ou encore les céréales.

Buvez de l’eau (mais deux fois de suite)

Quand vous buvez deux verres d’eau dans un temps rapproché, votre métabolisme connaît une hausse d’activité de 30% selon une étude allemande. Ainsi, en augmentant votre consommation d’eau quotidienne, vous pourriez brûler jusqu’à 17.400 calories en plus par an.

Surveillez votre thyroïde

Les problèmes d’hypothyroïde touchent 25% des femmes aux Etats-Unis. La glande thyroïde régule le métabolisme de votre corps. Quand celle-ci rencontre des difficultés, cela peut considérablement freiner la perte de poids. Ces dérèglements se soignent, mais il faut se faire dépister pour le savoir !

Evitez l’alcool

Vous n’avez pas envie de stocker vos aliments préférés sur vos hanches ? Alors préférez l’eau au vin ! L’alcool ralentit le métabolisme. Consommé en parallèle d’un repas riche en graisses et en calories, l’alcool fait brûler moins de graisses et contribue à les stocker plus facilement.

Variez les exercices

Lors de vos activités physiques, variez entre des exercices lents et des exercices de plus grande intensité. Ceci est un booster de métabolisme infaillible ! En pratiquant votre sport au gré de ses intervalles, vous brûlez davantage de graisses. Par exemple, si vous faites du jogging, intégrez dans votre parcours un petit sprint toutes les cinq minutes.

Consommez des produits laitiers

Ne supprimez pas les produits laitiers de votre alimentation si vous faites un régime, mais consommez des produits maigres, comme le lait écrémé, les yaourts maigres, etc. Le calcium agit dans le corps comme un signal et contribue à brûler les graisses plus rapidement !

Changez d’activité physique

Plus vous pratiquez une activité, plus votre corps s’y adapte, et donc, vous brûlez de moins en moins de calories. Faites varier les plaisirs !

Mangez du poisson

Les consommateurs de poisson ont tendance à avoir des niveaux plus bas de leptine. Des niveaux élevés de leptine sont souvent liés à un métabolisme faible et à des problèmes d’obésité. Essayez de consommer trois à quatre portions de poisson par semaine, et préférez le saumon, le thon ou le maquereau !

Les conseils « top secret » d’une gynécologue


Espace privé entre tous, un cabinet gynécologique est le théâtre de moments forts, parfois douloureux et souvent étonnants entre le médecin et ses patientes. Notre gynécologue vous donne ses petits conseils, en toute intimité.

Pas de maillot avant un rendez-vous

« Il est normal d’apporter un soin particulier à son intimité avant de se présenter à son docteur dans le plus simple appareil. Mais croyez-le, les médecins n’y accordent aucune importance. Pire, une épilation récente peut fausser un diagnostic. J’ai souvent affaire à des patientes qui se sont fait épiler le maillot la veille de notre rendez-vous. J’apprécie l’attention, mais il m’est alors quasiment impossible de déterminer si d’éventuelles rougeurs sont dues à une infection ou une irritation, ou simplement des séquelles de l’épilation en question. Avant de consulter votre gynécologue, privilégiez donc l’option naturelle, son avis n’en sera que meilleur. »

Poids et libido ne font pas bon ménage

« Nos patientes ne s’attendent pas forcément à ce que leur gynéco leur parle de leur surcharge pondérale. Il m’arrive pourtant fréquemment d’aborder le sujet avec des patientes qui me font part d’une baisse de leur libido. Une femme qui n’est pas à l’aise dans son corps en raison de quelques kilos de trop hésitera souvent à se présenter nue devant son compagnon, et aura même parfois tendance à le repousser. En pareil cas, nul besoin de recourir à un traitement hormonal : un régime doux et régulier va lui permettre de reprendre confiance en elle et en ses atouts, et de retrouver une vie sexuelle pleinement épanouie. »

Tomber enceinte après 42 ans… ce n’est pas gagné

« Nous évoquons fréquemment les questions de fertilité en rendez-vous, et je reçois régulièrement des femmes qui me font part de leur envie pressante de tomber enceintes alors qu’elles ont largement passé la quarantaine. Il est souvent difficile pour elles d’admettre que leurs chances sont proches de 0 tant les magazines regorgent d’histoires de stars mamans à 50 ans et plus. Ces cas sont exceptionnels et résultent souvent d’actes médicaux. Le fait d’avoir vos règles régulièrement ne signifie pas forcément que vous soyez encore fertile. »

L’accouchement sans douleur n’est pas moins digne

« Je respecte profondément le droit de chaque femme de choisir son mode d’accouchement. J’accompagne fréquemment des patientes qui ont décidé d’accoucher naturellement, sans aide médicale, voire même chez elle. Mais si on me demande mon opinion sur le sujet, elle est toute trouvée : choisissez la péridurale. Elle est efficace, sûre, et vous en priver ne fera pas de vous une héroïne pour autant. »

Un sextoy devrait être obligatoire

« Certaine patientes trouvent étrange qu’un médecin puisse recommander l’usage de sextoys. C’est pourtant une recommandation de pur bon sens : a mesure que l’on avance en âge, la production d’œstrogènes a tendance à diminuer, ce qui implique notamment une baisse de la sensibilité du clitoris. Utiliser un sextoy peut permettre de stimuler vos sensations en entretenant sa réceptivité. Je conseille cette pratique dès 35 ans, et en aucun cas pour un usage privé et honteux : si vous vous en sentez capable, impliquez votre partenaire, le résultat n’en sera que meilleur. »

Pas d’orgasme ? C’est sa faute !

« Lorsque mes amies ou mes patientes se plaignent de ne pas atteindre l’orgasme, elles ont tendance à rejeter la faute sur leur compagnon. Je leur réponds généralement que cela dépend en grande partie d’elles-mêmes. Le plaisir s’apprend, et chacune d’entre nous sait ce qui lui réussit le mieux. Charge à chacune d’entre nous d’aider leur partenaire à les satisfaire en les guidant dans leur propre plaisir. »
 

La blennorragie

      La blennorragie ou gonorrhée est une maladie sexuellement transmissible relativement courante, généralement contractée au cours de rapports sexuels avec une personne malade. Elle est due à un type bien précis de microbe (gonocoque) qui ne survit pas longtemps hors de l'organisme. C'est pourquoi il est fort rare de contracter la maladie par l'intermédiaire de linge, de serviettes, ou de lunettes de WC infectés. La période d'incubation est de deux à dix jours environ.


      La blennorragie chez les hommes en photo :

 
 
       La blennorragie chez les femmes en photo :
 

 

Fièvre thyphoïde et parathypoïde

      La fièvre typhoïde est une infection générale microbienne due à l'absorption d'aliments, de lait ou d'eau contaminés. Les microbes à l'origine de la maladie (Salmonella typhosa) sont rejetés dans les excréments et parfois dans l'urine des malades atteints ou des porteurs de la maladie. Des systèmes d'évacuation des eaux usées inadaptés et de mauvaises conditions d'hygiène sont les principaux responsables de la propagation de la maladie. Les points d'eau peuvent être contaminés ou les germes transmis par des personnes qui manipulent les aliments. Le lait et les produits laitiers comme le beurre constituent des bouillons de culture particulièrement fertiles pour la Salmonella. La période d'incubation est de dix à quatorze jours environ.

La méningite cérébrospinale

      La méningite cérébrospinale est une grave inflammation purulente des membranes qui recouvrent l'encéphale. Elle est due à un microbe (méningocoque) transmis par la toux et les éternuements d'une personne atteinte ou porteuse de cette maladie. Les premiers symptômes apparaissant soudainement après une période d'incubation d'environ deux à trois jours. Ils peuvent être précédés par l'apparition de petites taches irrégulières sur la peau. Cette éruption cutanée se développe dans environ 30 % des cas et est provoquée par la présence de germes infectieux dans le  sang. Ceux-ci se concentrent dans les membranes qui entourent l'encéphale (méninges). Ils provoquent un gonflement et une inflammation des tissus (méningite).

lundi 3 juin 2013

La maladie Hodgkin

      La maladie de Hodgkin est une maladie dont on ne connaît pas exactement la nature. Elle semble se comporter comme une tumeur maligne des ganglions lymphatiques. Les autres formes de tumeurs commencent habituellement comme de petites lésions affectant un organe ou un tissu particulier et ne se répandant dans l'ensemble de l'organisme que dans la dernière phase de maladie. La maladie de Hodgkin apparaît, en revanche, dès le début, comme une affection générale qui implique l'ensemble du système lymphatique : ganglions (du cou, des aisselles, de l'aine, de l'abdomen, de la poitrine) et rate. De ce point de vue, elle ressemble beaucoup aux leucémies qui apparaissent comme des altérations malignes généralisées de la moelle osseuse.
      Outre le gonflement des ganglions lymphatiques et de la rate, les symptômes comprennent de la fièvre, une perte de poids, un manque d'appétit, de la fatigue et des démangeaisons de la peau. Pour effectuer le diagnostic, il faut prélever l'un des ganglions hypertrophiés et l'examiner au microscope.
      Le traitement de la maladie de Hodgkin donnait autrefois des résultats peu satisfaisants. Les ganglions tuméfiés pouvant surgir simultanément en de nombreux endroits du corps, il était impossible de tous les extraire. Les rayons X constituent, aujourd'hui, un traitement  nettement  plus efficace et l'on dispose, en outre, d'une large gamme de médicaments qui s'avèrent très actifs contre  ces tumeurs. Ces produits appartiennent à la classe des médicaments " cytotoxiques ", ce qui signifie que leur actions consiste à détruire les cellules tumorales.
      La combinaison des médicaments cytotoxiques et d'un traitement par les rayons X permet, dans bien des cas, d'obtenir une rémission de la maladie et d'en supprimer, du moins momentanément, les symptômes. On parvient à guérir la majorité des patients atteints de cette maladie (plus de 75 %), surtout lorsque le traitement est commencé tôt.

Le fonctionnement du coeur

    

       Le cœur est un organe musculaire creux divisé en quatre cavités. Les deux cavités situées sur le côté droit du cœur (le ventricule droit et l'oreillette droite) reçoivent le sang des grandes veines et l'envoient dans les poumons. Là, le sang  se charge d'oxygène et revient dans les deux cavités du cœur gauche (ventricule et oreillette gauche), d'où le sang rouge vif, oxygéné, est envoyé par les artères dans tous les organes et dans tous les tissus de l'organisme. Les deux cavités du cœur droit sont reliées entre elle par  une valvule à trois pointes (valvule tricuspide) qui ne permet le passage du sang que de l'oreillette vers le ventricule. Les cavités du cœur gauche communiquent par une valvule à deux pointes (valvule mitrale). C'est grâce à ces valvules que le sang circule toujours dans la bonne direction.
      Les parois intérieures du cœur et les valvules sont tapissées d'une membrane souple, l'endocarde. Entre celle-ci et les parois extérieures, se trouve un tissu musculaire épais, le myocarde.
      Le cœur, dans son ensemble, est entouré d'une séreuse (péricarde) qui réduit les frictions.
      Une partie du muscle cardiaque (le système stimulateur), contenu dans la paroi de l'oreillette droite, a pour fonction de coordonner les mouvements du cœur ;, il envoie une impulsion électrique qui provoque la contraction des cavités : le sang est expulsé du cœur vers les poumons (du côté droit) et vers les artères (du côté gauche).

dimanche 2 juin 2013

Les globules rouges

      Les globules rouges (hématies) sont très petits et extrêmement nombreux : une goutte de sang en contient environ cinq cents millions. Ils sont fabriqués dans la moelle osseuse ; chez le jeune enfant, tous les os participent à cette activité tandis que chez l'adulte, seuls ceux du tronc interviennent.
      Le rythme de production des globules rouges est extrêmement élevé : plus de deux millions par seconde ! Ils ont une vie moyenne d'environ cent vingt jours, après quoi ils " meurent " et sont retirés de la circulation avec d'autre déchets. Les globules rouges adultes n'ont pas de noyau comme les autres cellules du corps. Cette absence les empêche de s'entretenir et de se régénérer : ils dégénèrent progressivement durant leur courte existence. Lorsque cette détérioration dépasse un certain degré, le globule mourant est éliminé de la circulation par les cellules " nettoyeuses " (phagocytes) de la rate ou d'autres organes. Il est décomposé et le fer contenu dans  l'hémoglobine ( matériau de base essentiel pour le corps) est soigneusement conservé pour être réincorporé dans l'hémoglobine d'une nouvelle génération de globules rouges.
      Le rôle principal des globules rouges est de transporter l'oxygène, des poumons aux divers tissus. Ils contiennent de l'hémoglobine, un pigment spécialisé dans cette tâche et pouvant se combiner librement avec de grandes quantités d'oxygène. Lors de cette opération, l'hémoglobine passe de la terne nuance violacée de l'oxyhémoglobine. A cette transformation est due la différence de couleur entre le sang sombre des veines, qui revient vers les poumons après avoir libéré son oxygène dans les tissus, et le sang artériel, rouge clair, qui quitte les poumons, chargé d'oxygène.

La mononucléose infectieuse

      La mononucléose infectieuse est une maladie infectieuse aiguë provoquée par un virus. Elle touche surtout les enfants et les jeunes, et est rare chez les personnes de plus de quarante ans. La mononucléose infectieuse est plus fréquente là où de vastes groupes de jeunes vivent ou travaillent ensemble, comme c'est le cas dans les écoles, les universités et les foyers. La croyance populaire veut que cette infection se transmettre en s'embrassant, ce qui est possible.
      La période d'incubation varie de quatre à dix semaines. L'apparition de la maladie est progressive et les symptômes sont souvent bénins. Il se présentent sous la forme de maux de gorge, de ganglions lymphatiques enflés (notamment au niveau du cou, des aisselles et de l'aine), de fatigue et de fièvre. Dans certains cas, une éruption cutanée semblable à celle de la rubéole apparaît, et il arrive, très rarement, que la peau du malade prenne une coloration jaune. Dans les cas les plus graves, les symptômes sont plus prononcés et peuvent subsister pendant plusieurs semaines. Après une crise inhabituellement grave, le sujet peut se sentir déprimé et faible pendant des mois.
      On ne peut diagnostiquer la maladie qu'en procédant à une analyse du sang. Chez les personnes atteintes, le taux de certains globules blancs (lymphocytes et monocytes) est supérieur à la normale. Un grand nombre de ces cellules ont également un aspect anormal typique (cellules mononuclées). Il existe un autre test de diagnostic (réaction de Paul-Bunnell) qui repose sur le fait que le sérum d'une personne atteinte de mononucléose infectieuse contient un facteur inconnu, capable de faire s'agglutiner les globules rouges d'animaux (surtout ceux du mouton).
      Il n'existe aucun traitement particulier pour les malades atteints de mononucléose infectieuse. Pendant la période où les symptômes sont gênants, restez couché et ayez une alimentation équilibrée.